L'Histoire de l'horlogerie
L’apparition de la montre-bracelet détermine le moment de l’entrée dans l’horlogerie du XXe siècle.
La montre à gousset, bijou fidèle des classes aisées, est petit à petit
remplacée par des modèles qui s’attachent autour du poignet, jusqu’à ce
que la fin du premier conflit mondial relègue la première à l’état d’antiquité.
Désormais, le garde-temps se porte en bracelet et s’emmène partout – dans les voitures de course, dans les cockpits d’avion, et jusqu’aux points les plus extrêmes du globe, où les montres accompagnement fidèlement nos plus courageux explorateurs. En passant de l’histoire des horloges à l’histoire des montres, la quête humaine du Temps a toujours conservé sa particularité artisanale : la conception des mécanismes se fait à la main, dans des ateliers, par des spécialistes. Or, au XXe siècle, pour la première fois, cette conception de l’horlogerie comme artisanat est remise en cause, lorsque l’industrie japonaise présente un premier modèle de montre à quartz, fabriquée à la chaîne par des machines. L’alliance d’un mécanisme nouveau (donc séduisant) et d’un prix réduit permet au plus grand nombre d’accéder à l’objet-montre, et plonge la Suisse dans une terrible crise du quartz autour des années 70. Il faudra à la confédération helvétique adopter une stratégie marketing innovante pour s’extraire de ce piège et remonter doucement la pente.
Mais, depuis, le paysage a invariablement changé. Au troisième millénaire, l’histoire des montres se confond avec celle du progrès technologique : les mécanismes sont toujours plus petits et les montres toujours plus performantes. Aujourd’hui, le monde des garde-temps fait osciller ses aiguilles entre deux pans du même cadran : d’un côté, des objets qui cherchent à intégrer les technologies les plus récentes (comme les montres connectées) ; et de l’autre, des mécanismes encore produits à la main, avec le goût de l’artisanat, pour un public qui goûte le luxe et l’exception. Finalement, le monde n’est-il pas assez grand pour les contenir tous les deux ?
Les Formations :
Vous souhaiter vous lancer dans l'horlogerie voici les formations qui vous permettrons de vous épanouir dans ce milieu :
Le CAP horlogerie : Un diplôme de niveau V qui vous donnera les bases du métier ;
Le Brevet des Métier d'Art (BMA) Horlogerie : Un diplôme de niveau IV qui vous permetra d’acquérir des compétences plus spécifiques ;
Le Diplôme Nationale Des Métiers d'Arts (DN MADE) mention instrument : un diplôme de niveau III qui vous ouvrira les portes aux ateliers les plus prestigieux...
La Technique :
Le choix entre manuel, automatique et quartz dépend de vos préférences personnelles :
- Choisissez une montre manuelle si vous appréciez l'artisanat traditionnel et l'interaction quotidienne avec votre garde-temps.
- Choisissez une montre automatique si vous souhaitez une montre mécanique avec plus de commodité.
- Choisissez une montre à quartz si vous préférez la précision et un faible entretien à la mécanique traditionnelle.
Chaque type de mouvement a sa propre signification historique, son charme et son attrait , ce qui rend la collection de montres vintage si passionnante !

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